Collection Soumise Et Soumis. J’Ai Du Mal À Dire Non (1/1)

• Lucy en as-tu pour longtemps avant de rentrer chez toi ?
• Une bonne heure Charles, j’ai encore un paquet de copies à corriger.
• Je te comprends, comme toi, j’avais du mal à la maison avec mes trois terribles.
• Oui, les s, ça fait plaisir quand ils naissent, mais pour la préparation des cours et la correction des copies, c’est plutôt difficile.
Luc m’aide quand il rentre de son travail, sauf pour faire à manger, ma belle-mère étant une adepte des plats en charcuterie, même un œuf au plat est source de catastrophe.
Je sais ce que je dis, un soir où il était seul, il a voulu en faire cuire au plat.
Ayant mis trop de beurre, il s’est enflammé à deux doigts de mettre le feu à l’aspiration.
• En as-tu au moins pour une heure, je dois me rendre à un rendrez-vous.
Jules, le concierge est, lui aussi absent et c’est moi qui dois fermer.
Mais si tu pars avant mon retour, laisse ouvert, je fermerai lorsque je serai revenu.
Qui viendrait pendant ce petit laps de temps.

Je vois Charles quitter la salle des professeurs et je me remets au travail.
Combien de temps est-il passé, j’entends du bruit dans le couloir.
Qui viendrait, comme l’a dit le proviseur, mais je me sens responsable, surtout qu’une deuxième fois, le bruit se répète.
Dans ce grand lycée de ma ville, si en temps normal j’ai du mal à avoir peur, je prends mon courage à deux mains et je vais voir.

• Eddy, que faites vous là ?

Dans ce lycée je suis professeur de math avec principalement les terminales.
La plupart ont de 16 à 19 pour ce monsieur Eddy.
Le cancre de cette école, celui qui se fiche de tout, sauf du petit cul des jeunes futures bachelières.
Il redouble, ce fichant royalement du temps qui passe et que sans diplôme la vie va être difficile.
Hélas, pas pour lui, fils à papa, il aboie et son père allonge les billets.

J’ai trois s, mais je suis relativement jeune, un peu moins de 30 ans.

Blonde avec une jolie poitrine que j’entretiens tous les matins par cent pompes.
Mon mari et moi, nous avons largement les moyens pour que je me paye un abonnement dans une salle de sport.
Même s’il y en a une à moins d’un kilomètre de notre pavillon, comme je l’ai dit le temps me manque à cause de mes s.
Bref, je sais que je fais envie à certains de ces grands dadais.
Eddy en fait partie, chaque fois qu’il le peut, il cherche toujours à me séduire.

• Tu es là, Lucy, tu fais des heures supplémentaires, j’avais oublié mon portable dans mon caisson, voyant que la porte du bahut était restée ouverte, je suis venu le récupérer !
• Eddy, voulez-vous que je dise au proviseur demain que vous m’avez manquée de respect en me tutoyant, vous serez renvoyé !

Ce garçon plus grand que moi éclate de rire.
En même temps, il se rapproche de moi et je suis obligée de reculer sinon nous nous percutons.

• Les lycées, c’est le troisième depuis que je suis passé en seconde que l’on me change d’établissement.
C’est con pour toi Lucy, tu es bandante, j’adore les blondes et tu es un des plus beaux spécimens qui m’ont été de rencontrer.

En me disant ces mots, je me trouve acculé le long du bureau où je corrigeais les copies.
Comme je l’ai écrit dans le titre, j’ai du mal à dire non, ce que je devrais faire.
Le repousser énergiquement, mais je sens sa verge durcie sur mon bas-ventre.
Lorsque j’ai rencontré Luc et qu’il m’a couché dans la prairie derrière l’église l’été de mes 18 ans, j’aurais dû lui dire non.
Sans capote et sans contraception, j’aurais dû savoir que les risques que je prenais étaient disproportionnés à l’envie de faire médecine.
Mais je l’ai fait et Gladys est née.
Il a été correct et c’est à cet âge que je lui ai dit oui m’orientant vers des études moins contraignantes et que je suis devenue prof de math.
Non, car Luc voulait un fils et j’ai accepté de remettre ça, mais pas de chance, Agathe est née.
Deux s, un travail que j’aime, mais comme on l’a vu très accaparant et pour un troisième essai, ce fut la naissance de Laure, il y a un peu plus de trois ans.
Trois fois l’oublie de dire non et trois filles, depuis il est vrai que nos rapports se sont un peu distendus, car chaque fois que nous sommes prêts à avoir des rapports, l’une des trois vient s’interposer.
Un petit exemple, lundi, j’avais un trou de deux heures de 13 à 15 heures.
Luc est venu manger avec moi et étant indépendant dans son travail a voulu me prendre dans la cuisine sur le plan de travail.
Il venait de m’assoir dessus et me léchait le clito quand mon portable a sonné.
Nous l’avons laissé s’époumoner quand c’est celui de Luc qui s’est mis à faire entendre cette sonnerie débile de clairon.
Nul doute, deux sonneries rapprochées sur nos deux portables, sûrement l’école d’une des filles.
Il a décroché et c’est en panique que nous avons été rechercher Agathe qui était couverte de boutons.
Une varicelle, suivie de celle de Laure et enfin Gladys.
Nous pourrions dire que nous avons de la chance.
En peu de temps, nous avons été débarrassées de la multitude de boutons, mais autant de pustules à soigner incitent peu à avoir des rapports.
Alors quand Eddy m’appuie légèrement sur les bras, c’est moi qui ouvre son pantalon et qui sors sa verge.
Mon dieu quel engin, plus grosse, plus longue que celle de Luc et c’est un peu comme dans de la ouate que je la suce des couilles à son méat.
Je voudrais la mettre dans ma bouche, j’aime le faire à mon mari en gorge profonde, mais j’ai beau écarter mes mâchoires, je dois renoncer.
Il me relève, sa main explore mon intimité, je mouille d’envie de cette verge bien que je sente que c’est purement fonctionnel.
Aucun sentiment alors qu’en il me retourne, me plaçant les seins sur le bureau, c’est tout naturellement qu’après qu’il ait ôté ma petite culotte bleue.
Toutes mes culottes sont bleues, Luc adore le bleu, même si moi c’est plutôt le noir ou le blanc.
Même jusqu’à mes sous-vêtements, j’ignore comment dire non.
Me mettant donc dans cette position, qu’il soulève ma robe et que sa langue vient lécher mon clito, je me laisse faire.

• Tu vois ma salope, je savais que tu étais destinée à ma bite dès le premier jour où je t’ai vue.

À part la pipe que je viens de lui faire, j’aurais encore pu le rembarrer, mais c’est naturellement à la sollicitation de l’un de ses pieds que je l’écarte et qu’il entre en moi.
Une seule poussée et je suis prise tellement je mouille.
Une seule poussée et les cris de plaisir que je pousse doivent s’entendre jusqu’au bout de la ville.
Une seule poussée et alors qu’un rapide orgasme me dévaste, j’ai à peine le temps de comprendre que l’on me présente une autre verge sur le côté du bureau où Eddy a fait de moi une femme adultérine.
Non, je devrais crier ces trois lettres, mais c’est impossible, car la verge qui m’est tendue, je l’ai, elle, absorbée en gorge profonde la masturbant en même temps.

• Putain Lucy, si j’avais su que tu étais une salope bonne à baiser, il y a bien longtemps que je t’aurais sautée dans mon bureau.
Eddy, tu as déjà enfilé des salopes à deux !
• Non, jamais, veux-tu qu’on essaye ?
• Bien sûr, je suis sûr qu’elle va apprécier, je la baise, tu l’encules, je la déchirerais.

Non pas les deux, non pas les deux.

• Allonge-toi sur le bureau, elle va monter s’empaler sur ta verge, mon salaud tu es bien pourvu.
Je la dénude, je savais qu’elle avait des seins à faire bander un âne eunuque.

Un objet, ils se servent de moi comme d’un objet et je dois dire que le plaisir déjà pris me donne envie de continuer.
Je connais le sexe et la double pénétration se fait l’un dans la chatte, Eddy, l’autre dans mon cul, Charles, c’est lui qui est de retour.
C’est le proviseur qui va avoir l’honneur de me dépuceler du cul.
La sodomie, j’aurais eu du mal à la refuser à mon mari s’il me l’avait demandé gentiment.
Un seul moment, je pense que tout ceci est prémédité, ils se sont tutoyés.
Ce doute s’estompe quand je pense que c’est simplement la circonstance leur permettant de se servir de moi qui a déclenché ce tutoiement.

Prise par deux bites en même temps, je souhaite à toute femme de connaitre ce plaisir.
La défonce de mon cul s’estompe vite quand je suis labourée comme jamais et que le petit orgasme déclenché par la langue d’Eddy est ridicule quand j’explose alors qu’eux aussi prennent leur plaisir.
Lorsque j’émerge du plafond de verre que je viens de franchir, mes yeux se posent sur la copie placée à côté de la tête d’Eddy, c’est la sienne, j’ai envie de lui mettre 20 sur 20.

C’est pantelante que je rentre chez moi où les filles sont couchées.
Je déguste ma salade aux foies de volaille que Luc m’a préparée.
Je fais la vaisselle avant de monter me doucher de la figure de style pratiquée avec les deux hommes sur le bureau.
Luc vient derrière moi et m’enlace.
Il passe sa main sous ma robe, nulle culotte.

• Tu te promènes la chatte à l’air, j’adore, fait comme ça tous les jours, à te savoir nue, ça m’existera.

Il me soulève ma jambe droite qu’il repose sur le plan de travail et c’est dans le sperme d’Eddy qu’il propulse sa verge entrant là encore comme dans du beurre.

• Eh bien, ma salope, je sens que tu étais en manque, je vais te baiser bien plus souvent, ce serait con que ce soit un autre qui profite d’une chaudasse comme toi.

Moralité, si j’avais su dire non, Charles serait encore mon simple proviseur.
Le lendemain au lycée, les jambes et le cul encore mal remis, quand Paulette la prof de techno me dit que le proviseur veut me voir, j’aurais dû me douter qu’il veuille que je devienne sa maîtresse.
Je fais souvent des heures supplémentaires, mais dans son bureau pour mon plus grand plaisir pendant plusieurs semaines.

• Monsieur, regardez là vous allez avoir un fils.

J’ai trompé mon mari, mais à terme c’est lui l’homme qui est le plus heureux, non pas d’être cocu, mais de ce quatrième qui est un mâle.
Il croit déjà qu’il va pouvoir jouer au foot avec lui.
Et Eddy dans tout ça, est-il le père de ce fils, à sa naissance, sa bite et ses couilles peuvent en témoigner.
Lui qui glandait, il réussit son bac avec mention et nous quitte pour la fac de Bordeaux.
La dernière fois où je l’ai vu c’est le jour des résultats du bac, depuis pas une seule fois.
Heureusement, ça m’évite de lui dire non, me contentant des verges de Luc et Charles.
Je m’excuse, c’est lundi et pendant mes deux heures de pause, je dois aller à la salle de sort où Luc m’a inscrit pour maintenir ma forme après son accouchement.
Je vais y retrouver Babeth, magnifique rousse qui court toutes les semaines sur le tapis voisin du mien.
Nous commençons ensemble, nous finissons ensemble et c’est ensemble que nous allons prendre notre douche.
Promis aujourd’hui je me lance, ma main va atterrir au centre de ma cible, sa toison rousse et ses lèvres pulpeuses, je pense qu’elle va dire « OUI ».